pkoi!!!!!!!!!!!!
pkoi t en de haine !!!!!!!!!!!!!!!!!! pkoi cette politique nous les enmenes labas moi je ne trouve pas ca normal y a tand de jeune ou autre connaitrons pas noel dans leur famille cette annee 2009 vous trouvè ca normale vous??? y a des enfants amis famille ne verront plus ceux ki sont partis avec les anges .c peut etre un travail mè pas cool pour ceux ki disparaisse .mon homme et militaire et g des enfants avec lui parfois g peur k il l y reste comme ceux ki partent le moindre coup de telephone parfois ca me fè peur k on me disent votre mari a eu kelke chose de grave et vous le reverrais jamais juste par ce que la politique a dis je c k on peu rien faire a ca ! mè c triste pour ceux ki aimes bis a tous les militaires francais
Mourir pour Kaboul Dix soldats français sont
Dix
soldats français sont morts lundi en Afghanistan au cours d’un
affrontement avec les talibans. La plus lourde perte subie par l’armée
française depuis vingt-cinq ans. Depuis 2001, la situation Afghane
semble incontrôlable et ressemble à une impasse sécuritaire. Tous les
experts s’accordent à reconnaître qu’il s’agit d’une guerre ingagnable,
d’un conflit sans fin. Les motifs même de l’engagement français
apparaissent peu lisibles, hormis une volonté revendiquée d’apparaître
comme un allié fidèle des américains.
Neuf
morts et dix-huit blessés. Les autorités françaises évoquent une simple
embuscade. La presse internationale retient le terme de « bataille » en
soulignant qu’il aura fallu un important soutien aérien français et
américain pour éviter un bilan plus lourd. En
tout état de cause les terres Afghanes sont toujours l’un des points
les plus chauds de la planète. Son relief montagneux se prête à
merveille à ce que l’on rebaptise aujourd’hui en « guerre asymétrique »
autrement dit la vieille tactique de la guérilla.
Ce
que le candidat Sarkozy avait résumé par la formule « aucune armée
étrangère n’a réussi dans un pays qui n’est pas le sien ». L’Armée
Rouge qui avait imprudemment envahit le pays en 1979 y aura laissé sa
réputation d’armée invincible et avait du repartir par la petite porte.
« La coalition » terme on ne peu plus vague qui recouvre les forces
armées américaines et ses alliés de l’Otan, semble aujourd’hui sur la
même pente. Ce que les services de renseignements occidentaux
considèrent comme une impasse militaire totale et durable.
Si
la solution n’est pas militaire, elle ne peut être que politique. Plus
sûrement un mélange des deux. Comme le rappelait avec pertinence Paul
Quilès, l’ancien ministre de la défense socialiste, la lutte contre le
terrorisme ne peut se résoudre à un traitement militaire classique.
L’erreur américaine, à laquelle la France a souscrit, est d’apporter
une vision manichéenne aux choses. De voir dans ce combat un simple
affrontement entre le bien et le mal. De penser que le terrorisme
n’aurait qu’un nid, celui des montagnes afghanes, alors qu’en fait sa
matrice est universelle : la misère, la pauvreté, l’injustice…
Le
retournement de la situation, en Afghanistan, mais aussi en Irak, passe
par une inversion dans la proportion entre les dépenses militaires et
les aides civiles. Aujourd’hui ce rapport est plus que déséquilibré,
semble-t-il de 1 à 10. Et encore, la corruption est telle qu’au final,
les populations ne voient pratiquement rien. Dans une belle formule,
Laurent Joffrin de Libération rappelle que « Le courage des soldats
exige l’intelligence des politiques… »
Le
temps est aussi venu de répondre à la question pourquoi l’Afghanistan ?
Ceux qui nous parlent, la larme à l’œil d’une cause juste, d’un combat
pour la démocratie et la liberté en évoquant les femmes voilées et
l’interdiction des cerfs-volants sont souvent du plus grand cynisme
devant des exactions, des violations répétées des libertés et des
droits de l’homme ailleurs sur la planète.
Des
grands principes de circonstances quand on constate que dans la plupart
des démocraties concernées, les décisions de l’engagement militaire en
Afghanistan, ont été prises le plus souvent en cataminini sans débat et
assentiment national.
Enfin,
on aurait aimé que pour une fois le Président Sarkozy toujours pressé
de faire un déplacement de 5 000 kilomètres sous le feu des médias, en
l’espèce pour afficher la détermination de la France dans la lutte
illusoire contre le terrorisme, prenne le temps d’un déplacement à
Castres. Pour faire utilement preuve de compassion dont il use et abuse
d’habitude, pour rencontrer les familles des soldats morts pour « la
France » car, comme il l’a rappelé « la décision ultime, c’est moi qui
la prend ».
A
défaut de président, de Premier ministre, ou de ministre, c’est
finalement Jean-Marie Bockel, « simple » secrétaire d’Etat qui se sera
rendu au chevet des familles.
Un soldat français a été tué et deux autres
Un caporal français du 3e RIMa trouve la mort en Afghanistan
"Le président de la République a appris avec une vive émotion le décès, aujourd'hui, d'un militaire français en Afghanistan. Il participait, avec le 3e régiment d'infanterie de marine de Vannes, à une opération de soutien à l'armée nationale afghane (ANA) dans la vallée de Ghayne", indique le communiqué de l'Élysée. "Au cours de l'opération, les éléments français ont été pris à partie par les insurgés. Un soldat français a été mortellement touché. Deux de ses camarades de combat ont été blessés", précise la présidence.
Les faits ont eu lieu ce samedi à 6 h 30 (heure de Paris), mais la nouvelle n'a pu être annoncée avant 14 h 50, les proches des soldats n'ayant pu être contactés immédiatement. Selon une source militaire, le soldat qui a péri était un caporal âgé de 22 ans. Les deux blessés ont 23 et 27 ans. Ils souffriraient aux mollets. La vie des blessés n'est pas en danger et leur état de santé est "stable", a précisé le ministre français de la Défe
militaires
Des soldats français ont dû abandonner sur le terrain deux missiles antichar Milan lors de combats avec des insurgés afghans samedi à l'est de Kaboul, a indiqué jeudi l'état-major des armées à Paris.
L'accrochage s'est produit dans la province de Kapisa, où avait eu lieu l'embuscade qui a tué dix soldats français près de Kaboul le 18 août.
Selon les chaînes de télévision TF1 et LCI qui ont d'abord rapporté l'information, aucun soldat français n'a été tué ou blessé lors des combats de samedi et 14 combattants talibans ont été tués.
Une unité française a été "cernée par des tireurs (et) il fallait faire reculer ce groupe", et "un poste de tir et deux missiles n'ont pas pu être récupérés" lors du désengagement des militaires français, a indiqué le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major des armées à Paris, interrogé par les deux chaînes.
Le porte-parole a reconnu que de tels missiles pouvaient "être efficaces" tout en soulignant que "pour autant ce n'est pas une arme très facile d'emploi".
"C'est une arme particulière dont la mise en oeuvre nécessite une formation particulière et un entraînement particulier, donc ça nous laisse penser que ce sera pas si facile que ça de s'en servir avec efficacité", a déclaré de son côté le lieutenant-colonel Bruno Louisfert, porte-parole des forces françaises en Afghanistan, interrogé par TF1.
Utilisé par l'infanterie et les forces spéciales, le Milan est tiré à partir d'un tube servant aussi à le stocker et à le transporter. D'une portée d'environ 2.000 à 3.000 mètres selon les versions, il peut être utilisé par des fantassins ou à partir d'un véhicule.
Ce missile est doté de commandes de mise à feu, d'une optique de visée et d'un système de télécommande. Il est guidé par un dispositif utilisant le rayonnement infrarouge émis par un traceur, les ordres étant transmis par un fil de guidage.
Grâce à son système de guidage, il peut neutraliser indifféremment des cibles avec ou sans signature infrarouge, tels que les bunkers, les positions fortifiées ou les postes de commandement.
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1 COMMENTAIRE(S)
Alex
La grosse boulette !
vendredi 24 octobre | 01:02
Je ne sais pas si c'est le cas de MILAN, mais en général, le mode d'emploi est écrit sur le tube même (des messages d'avertissement disant quoi ouvrir, les flèches etc.), donc même sans formation, il est possible de comprendre comment l'utiliser. D'autant plus que grâce au CIA, les talibans savent déjà utiliser les missiles du genre Stinger. Et même en visant très mal et sans formation spécifique, il y a un risque que les talibans soient capables de l'utiliser, si ce n'est pas pour abattre un véhicule blindé en mouvement avec précision, mais, par exemple, pour attaquer une base militaire (un objectif grand et statique).
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